mardi 12 avril 2011

Sarko / Libye



L'infâme Sarkozy est bien à l'origine du "bain de sang" libyen, pour faire disparaître un témoin gênant de ses turpitudes et servir, encore et toujours, les intérêts de l'empire Usraélien. Il doit être jugé, ou interné d'office car c'est un fou qui est "le" problème de la France

Le gouverneur "français" (de l'empire Usraélien) Nicolas Sarkozy a justifié l'intervention militaire en Libye en soulignant qu'elle avait "évité des milliers et des milliers de morts" (AFP)

Il s'agit là du n-ième mensonge de Sarkozy, mais celui-ci est d'une extrême gravité. On sait aujourd'hui que pour des raisons extrêmement personnelles d'abord, Sarkozy a encouragé à agir, dès l'automne 2010, une poignée d'opposants à Kadhafi de l'Est libyen qui prétendaient pouvoir assez facilement obtenir le départ du chef d'Etat libyen. Début mars, il est apparu que ceux-ci avaient menti, et que la DGSE s'était largement plantée dans son analyse de la situation sur le terrain...



En encourageant ces insurgés à agir, c'est Sarkozy qui a délibérément provoqué la mort de quelques centaines d'entre eux (et non "des milliers"!).
Le 10 mars, à l'initiative de BHL, et donc d'Israël, Sarkozy a reconnu la légitimité d'un auto-proclamé Conseil National de Transition, créé quelques jours auparavant pour les besoins de la cause, à représenter "le peuple libyen" et à être le seul interlocuteur de la France.


Le putsch prévu ayant avorté, et les "résistants" de Sarkozy se retrouvant au bord de la déroute face aux forces loyalistes, son mentor israélien BHL annonça que la France était prête à mener des opérations militaires contre Kadhafi! Il ne s'agissait plus de sauvegarder des vies que l'on avait délibérément envoyées au casse-pipe, mais d'agresser militairement la Libye de Kadhafi.


A ce stade, la CIA et Robert Gates, le patron du Pentagone déclaraient fort justement que les partisans d'un troisième front contre un pays musulman relevaient de "l'hopital psychiatrique" (allusion claire à Sarkozy).

La suite est bien connue, la résolution 1973 est votée de justesse le 17 mars, grâce au revirement de l'Afrique du Sud, pressée par son vieil ami israélien....

Le vrai "bain de sang" peut commencer, encore une fois sous l'égide de l'ONU, avec l'espoir d'une prise de contrôle totale du pétrole et du gaz libyens par la "communauté internationale", à savoir les Usraéliens et leurs valets européens.

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